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| Le fond de la photo est de Notre Impérial Concubine ! |
…Horns of the Buffalo 2nd scenario !
Le scénario 2, de la régle Horns of the Buffalo, jeu de Bill Molyneaux, retrace la bataille d'Isandlwana livrée le 22 janvier 1879 en Afrique du Sud, pendant la guerre anglo-zouloue, et s'est soldée par l'une des plus grandes défaites coloniales britanniques.
Le Colonel Anthony Durnford et le Lieutenant-colonel Henry Pulleine mène une colonne d'environ 1700 hommes, composée de six compagnies du 24e régiment d'infanterie britannique, d'un contingent de volontaires du Natal et d'auxiliaires Basotho. Leur camp est attaqué par 40.000 Zoulous commandés par les chefs zoulous Ntshingwayo Khoza et Mavumengwana kaNdlela Ntuli.* * * * *
Voici la table dans son ensemble !
Nous avons décidé de Nous équiper de terrain Hexon de chez Kallistra et Nous avons réalisé la célébrissime montagne d’Isandlwana avec la référence 4HEX-Ma/BR et les tentes sont de chez Leven Miniatures !
Le terrain est prêt !
Le camp britannique…
…et les troupes qui le défendent !
Une cavalerie en reconnaissance…
…qui découvre l’armée zouloue en approche…
…et l’ampleur de celle-ci !
Les figurines sont des Baccus 6mm !
Et maintenant la bataille !
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Tour 1
Les Britanniques commencent à jouer, mais la surprise, et la soudaineté de l’arrivée des Zoulous …
… ne leur permet de bouger que les troupes de deux hexagone, où sont placés leurs commandants !
Cette arrivée est tellement soudaine que dès le premier mouvement, les Zoulous de la corne droite sont sur les Britanniques !
La corne gauche mettra plus de temps arriver au contact !
Les deux cavaleries présentes sur le champ de bataille en profitent pour harceler l’extrémité de celle-ci !
La particularité de la cavalerie dans cette règle est qu’elle peut esquiver le combat, au lieu de tirer en défensif !
Ce tour de tir britannique est meurtrier…
…c’est 12 pas de perte qui sont infligés aux Zoulous lors de ce premier affrontement.
Quasiment 100 % de réussite au tir… Le tir britanniques est à la hauteur de sa réputation !
Tour 2
La première phase de tir de ce tour fait dix pertes chez les Zoulous…
…et la corne de droite est anéantie !
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À ce moment de la partie nous demandons si cela vaut bien la peine de continuer, étant donné la puissance de tir britannique !
Sachant que six unités zouloues vont venir en renfort durant les tours 3 à 6, nous allons persévérer, mais nous craignons que ceux-ci ne soient eux aussi directement exterminés dès leur arrivée… comme ce fut le cas pour les premiers courageux guerriers de la corne droite !
Mais Sa Majesté ne renonce jamais !
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Nous continuons la partie !
Dans un esprit de vengeance et le sacrifice, les deux dernières plaquettes de la corne droite, se jette sur la ligne de feu dévastatrice, des Britanniques et succombent bravement !
La corne gauche et le centre se positionnent pour l’assaut de la ligne britannique qui espère bien avoir autant de réussite que leur compatriote de l’aile gauche !
Pendant ce temps, les cavaleries continuent à harceler, les arrières de la corne gauche avec succès !
Il ne fait pas bon s’approcher seul de la ligne de feu britannique et le Donga (rivière asséchée) ne procure aucun couvert aux tirs !
Le commandant, de la corne droite est le seul rescapé de cet assaut manqué …
… il devra attendre les renforts pour tenter de nouveau de percer cette ligne de feu !
Tour 3
Le tir britannique commence à baisser en intensité, est-ce déjà le manque de munitions qui se fait ressentir ?
Tel des mouches, les cavaleries britanniques continuent à harceler l’arrière de la corne gauche du buffle !
Et voici les renforts qui arrivent, tel une corne droite qui repousse à la place de celle qui fut massacrée !
Le tir défensif fait encore des ravages avec plus de 10 pertes chez les Zoulous !
Mais la phase d’impact sérieuse, sur toute la longueur du front, est dévastatrice…
… ce ne sont pas moins que 12 plaquettes qui sont retirées des rangs de l’armée coloniale…
… dont une cavalerie et le commandant capturé avec celle-ci !
Tour 4
La dernière cavalerie continue son rôle de harcèlement avec quelques succès, mais nous sentons bien que le moral n’y est plus…
…la bataille va se gagner, ou se perdre ailleurs !
La deuxième vague de la corde droite à elle aussi, était terriblement rogner, et c’est la troisième vague qui se présente pour venir la remplacer et affronter la ligne britannique qui est tout de même fortement diminuée par les assauts répétés !
Pendant ce temps, une unité zouloue vient couper la route de sortie, le long de la célèbremontagne d’Isandlwana, qui donnera son nom à cette bataille !
Avec l’arrivée des renforts, la ligne de front se stabilise et les combats et tirs font rage !
Règle spéciale pour ce scénario : À partir du quatrième tour, un « 10 » obtenu sur 1D10 de tirs indique que la moitié d’une unité britannique doit aller au ravitaillement en munitions.
Dès lors, les tirs deviennent une affaire très sensible pour des unités déjà en effectif réduit !
Malgré ces besoins en munitions et des effectifs moindres, le tir demeure toujours très puissant !
La corde gauche commence à se rabattre sur l’aile droite britannique, qui commence à craquer !
Tours 5
Le camp britannique est encore hors de portée et bien défendu…
… Les deux artilleries placées sur la colline au centre du dispositif, ont bien rempli leur rôle, car elles ont fait de gros dégâts dans les rangs zoulous ! Ce qui ne fut pas le cas des roquettes de Congrève qui ne furent pas à la hauteur de l’impressionnant, dispositif déployé et furent rapidement capturées !
Règle spéciale pour ce scénario : Au tour 5. un commandant britannique peut, dans un dernier espoir de sauver les couleurs, fuir le champ de bataille par la route derrière la montagne d’Isandlwanda, mais elle est coupée par la Présence d’une unité au loup qui m’aime réduite à moitié de sa puissance, empêche ce sauvetage !
C’est donc un tour funeste que ce cinquième tour de jeu… car l’arrivée de nouveaux renforts zoulou semble sonner le glas de cette armée coloniale en quête de gloire et de territoire !
On voit bien ici que le sort semble jeter, et que le camp britannique sera bientôt pillé !
Et quand la fin est proche, cela se ressent à tous les niveaux… Le manque de munitions pousse les Britanniques à envoyer de plus en plus d’hommes à la recherche des précieuses cartouches difficiles à extraire dans leur caisses scellées et vissées !
Les deux « 10 » au même moment des tirs d’unités britanniques à plein effectif, sont autant de fusils qui ne cracheront pas le feu sur les braves guerrier, qui ne cessent d’affluer sur le champ de bataille !
Et comble de malheur, la colline centrale est prise d’assaut, et les deux artilleries sont capturées par les Zoulous, ainsi que la colline sur lequel elle trônait depuis le début de la partie !
Tour 6
Les dernières renforts arrivent sur le champ de bataille… Mais est-ce bien nécessaire !
La messe semble dite, et ces derniers guerriers ne pourront que participer au pillage et au festin…
…car il ne reste pas beaucoup de Britanniques sur ce champ de bataille !
Tour 7
C’est l’hallali !
Les derniers britanniques sont massacrés ; C’est une victoire écrasante des zoulou…
… L’histoire bégaye… c’est l’une des plus importantes défaites coloniales de l’empire britannique !
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Très bon rendu, même si nous nous sommes fait peur au début avec autant de pertes de guerriers zoulous, les renforts qui arrivent régulièrement permettent de diminuer l’efficacité de la ligne britannique !
Le rendu est vraiment bon et les règles spécifiques au scénario apportent un peu de piment… c’est très plaisant à jouer !
Nous allons refaire une partie en modifiant la tactique britannique en profitant du couvert procuré par le Donga (rivière asséchée) ou du camp et de ses chariots !
